Florence Caillon reprend ici les principes acro-chorégraphiques qui constituent les fondements de son langage circassien : jets de corps, élans, spirales, déséquilibres, sauts, chutes, tremblements, décomposition du mouvement acrobatique. Sur une composition musicale originale, s’invente une fable poétique et solaire, égratignant au passage le fantasme colonisateur de l’être humain.